Résumé : Pour plusieurs personnes, le 14 février est l’occasion de prouver leur amour aux êtres chers. Mais pour certains, comme Kara Monahan, publicitaire de renom, ce n’est qu’une occasion supplémentaire de rappeler aux célibataires leur solitude obligée. À Los Angeles, le fleuriste Reed vit l’une des plus lucratives journées de l’année, pendant que Kelvin, un journaliste sportif affecté aux faits divers pour la journée, doit faire un reportage barbant sur la St-Valentin en interrogeant des gens dans la rue. Le footballeur Sean Jackson donne, quant à lui, une conférence de presse sur son avenir, alors que Holden discute avec Kate dans l’avion en direction de Los Angeles.
Mon avis : 2.5/5
« Valentine’s Day » est une comédie sympa mais il n’y a réellement que quelques passages qui m’ont vraiment fait rire. Réalisé par Garry Marshall, un habitué des romances hollywoodiennes : Pretty woman, Princesse malgré elle, Just maried… Ce film n’est pas pour autant une grande réussite !
Comme je vous le disais, seulement quelques scènes m’ont fait rire. L’une d’elles est celle où Taylor Swift, une cheerleader légèrement naïve, nous bombarde de chorégraphies originales sur fond de déclaration d’amour et de baisers langoureux alors qu’elle est interviewée par une chaine locale. D’ailleurs, je suis un peu déçue par la finalité de son couple (dans le film) avec Taylor Lautner. Crédibilité : 0 / Too Much : 1000000000 !!!
Le reste est une succession d’acteurs célèbres, véritables point fort du film. Car, malgré l’abondance de têtes connues, le scénario, lui, ne vole pas très haut. On compare « Valentine’s Day » a « Love Actually » : grosse erreur ! Le premier est bâclé alors que le second est plein de charme et de profondeur.
« Valentine’s Day » essais quand même de rajouter un peu de suspense et de profondeur mais la sauce ne prends pas. Ainsi je n’ai pas été touchée plus que ça par le couple homosexuel ou par le parent qui revient d’Irak afin de retrouver son enfant. Peut-être qu’il y a finalement trop de personnages, c’est pas évident de garder un bon rythme avec autant de têtes. N’est pas Richard Curtis (réalisateur et scénariste de Love Actually) qui veut !
Le film se termine avec Julia Roberts qui nous fait un petit clin d’oeil à un film très connu, tourné aussi avec Gary Marshall.