Archives Mensuelles: octobre 2012
The Flamingos – I only have eyes for you
Ecrite en 1934 « I only have eyes for you » a été reprises de nombreuses. Sa popularité n’est donc plus à faire. Cependant je tenais à partager avec vous ma version préférée, et surement l’une des plus connus. Cette chanson est donc l’oeuvre de The Flamingos, un groupe de Rhythm & Blues américain. Pour ma part je pourrai l’écouter en boucle…
Tenue du jour : Laura Carmichael
Cinq scènes de chez Disney qui m’ont marquée étant petite
La Belle et la Bête – La transformation
C’est bien simple, je pleure à chaque fois… (aucune moquerie ne sera acceptée).
La Petite Sirène – Embrasse là
Cet ancien doublage (1989) me manque tellement… Et puis Henri Salvador quoi !
Cela dit, j’ai toujours trouvé ce regard légèrement flippant…
Blanche-Neige – Hey ho !
Petite, j’étais fascinée par les pierres précieuses et cette scène c’était juste le pied ! Pendant que certaines rêvaient d’être Blanche-Neige et de se faire réveiller par un Prince charmant, moi je voulais partir avec les nains, une pioche à la main, afin de récupérer des tas de pierres. D’ailleurs, personne ne s’est jamais demandé pourquoi des nains qui ramassaient des brouettes de diamants, rubis et autres pierres précieuses, vivaient dans une maison aussi « rustique » perdue dans la forêt ?!
Les 101 Dalmatiens – Le chiot rescapé
Rohhh, la naissance des dalmatiens mais surtout les efforts pour sauver le petit dernier ça m’a toujours émue. Cette mini boule de poil enroulée dans une serviette et qui tient dans la main (on aurait dit un mini sandwich) et puis cette horloge en bruit de fond. Bref, cette scène m’a marquée !
Cendrillon – Chante doux rossignol
Ici c’est plus le visuel que la chanson que j’aime. Toutes ces bulles et ces effets colorés ça m’emballaient ! Par contre, je ne sais pas vous mais cette manie de faire de la gentille une super chanteuse et des méchantes de véritables casseroles me porte à croire que je suis une mauvaise personne…
Dans le dressing de Ruby
Sept jours pour une éternité… – Marc Levy
Présentation : Californie, de nos jours. Lucas vérifie l’élégance de son costume sombre et se dit qu’une journée qui commence par deux ou trois catastrophes sanglantes est une belle journée. Toujours à San Francisco, Zofia, chef de la sécurité du port, cherche à faciliter le travail des dockers. Lucas est un démon. Zofia est un ange. Le meilleur de la CIA (Centrale de l’Intelligence des Anges), aux ordres de « Monsieur », qui règne sur le monde en souverain absolu. Quant à Lucas, c’est d’un dénommé Lucifer qu’il dépend.
Or, le diable et le bon Dieu, puisqu’il s’agit d’eux, se sont lancés un défi dûment signé en ces termes : « Sept jours durant, nous enverrons parmi les hommes notre meilleur agent. Le plus à même d’entraîner l’humanité vers le bien ou le mal apportera la victoire à son camp. Le pouvoir d’administrer le nouveau monde reviendra au vainqueur. » Mais ce que n’avaient pas prévu les signataires, c’est la rencontre de Zofia et Lucas, dès le premier jour, dans un bar de San Francisco, celle d’un homme et d’une femme restés humains en dépit de leurs pouvoirs surnaturels. Et, on peut le révéler ici, ils vont apprendre à se connaître, et, miracle, à s’aimer. Jusqu’à la victoire finale de Zofia. Rêve, utopie peut-être, mais le Bien peut gagner la partie…
Mon avis : 3,5/5
Nombre de pages : 309
Éditeur : Pocket
Langue : Français
Prix : 7.30 €
Je sais que beaucoup vouent un culte à Marc Levy, il doit sans doute être l’un des auteurs français les plus connus. Moi, je le vois plus comme quelqu’un qui écrit de la romance sympathique et sans prétention, non un grand écrivain et « Sept jour pour une éternité… » ne déroge pas à cette idée que j’ai.
On a la une jolie histoire mettant en avant deux personnages touchants : Lucas et Zofia. Alors que tout semblait les opposer (lui bosse pour le Diable et elle pour Dieu) ils vont très vite connaitre ce qu’on appelle familièrement « un coup de foudre ». Touchants et drôles ils seront prêts à tout remettre en question par amour.
Alors c’est vrai que le coup du « on a rien en commun mais on s’aime » ça sent le réchauffé, cependant le fait d’avoir inscrit la romance sous fond de conflit Diable/Dieu était assez original et sympa. En plus du coté fantastique j’ai aimé la dimension bien et mal qui se font la guerre. On pourrait penser qu’avec l’amour qui vient s’incruster dans l’histoire c’est le bien qui l’emporte, mais au final la bonne idée a été de faire faire des concessions aux deux héros sans pour autant renier leur nature profonde.
Ce livre met évidemment en avant l’idée de profiter de chaque instant sans avoir peur de se tromper car comme on dit : mieux vaut des remords que des regrets.